Certaines propriétés thérapeutiques liées au cheval sont connues depuis l’antiquité.
En France, la pratique de l’équithérapie se développe depuis les années 1970 : enfants autistes, dyspraxiques, adolescents schizophrènes, anciens prisonniers ou militaires revenant du front ont bénéficié de cette prise en charge.
Selon les chiffres, 20 séances d’équithérapie correspondraient au résultat d’un travail de 2 ans en suivi psychologique traditionnel.
S’occuper d’un cheval est valorisant : il nous permet parfois de dépasser nos limites, nos peurs de l’approcher.
Le cheval ne laisse jamais indifférent, il fascine, effraie ou passionne. C’est un véritable miroir de nos émotions.
Arriver à réaliser une action avec cet animal plus grand et plus puissant que l’homme participe à une meilleure confiance en soi.